Quelque Chose de Pourri… Il y a quelque chose de pourri au Royaume de Montréal

23Sep/090

Réhabilitation des cols-bleus.

Réhabilitation des cols-bleus.

Le candidat à la mairie, Richard Bergeron propose d’éliminer toute sous-traitance, sous prétexte que faire faire le boulot par les cols bleus coutera moins cher et éviterait la corruption de la sous-traitance. Ceci ignore la corruption de la part des cols bleus, la solution contre la corruption est la gestion et de liquider ou reformer l’arbitrage (arbitrage qui force a réintégrer des cols bleus qui commettent des actes de violence), et lors de la fusion de Montréal on laisser la ville avec la pire gestion, prendre contrôle de l’ensemble. Et je reprendrai les mots de l’ex-maire Doré, Montréal est trop gros pour être géré adéquatement.

M. Bergeron a la mémoire déficiente ou sélective, pour avoir travaillé a la ville de Montréal, la pire chose a faire c'est de donner plus d'ouvrage a ce groupe de travailleur sur payer, et qui ne travaille pas. Juste en exemple le déneigement, parfait exemple de la sous-traitance versus les cols bleus. Les entrepreneurs privés terminent le déneigement de leur territoire en général de 30 à 40% plus rapidement, et à un cout moindre, ceci s'applique dans les faits aussi pour la collecte des ordures. Les cols bleus aiment répéter que le problème est la gestion. Hmmm si les sous traitants qui a son travail diriger par le même superintendant de la ville termine de 30 a 40% plus vite que les cols bleus, cela démontre que cet argument est un mensonge et est malhonnête.

M. Bergeron oublie les grèves sauvages des cols bleus, la piètre performance et les conventions forcées par Québec, qui ont menotté l’administration de la ville. Il  avance que donner plus aux cols génère de meilleurs emplois que la sous-traitance, le problème est que TOUT le monde paie ces salaires, et que cela diminue le nombre d’emplois possible et disponible, et que cela augmente l’inflation. Ce qui pénalise encore plus les sans-emplois,. En bref, c’est 2 coups de marteau au pauvre et à la classe moyenne. C’est la pire solution, elle crée la richesse que pour quelques cols bleus qui n’accomplissent pas le travail requit, et en ne complétant pas leur boulot il empire la perception négative de la santé de la ville, bref on se coule nous-mêmes. Les années 70 ont démontré que ce modèle socialiste ne fonctionne pas, il ne favorise que quelques employés publics, il encourage le laxisme au lieu de l’accomplissement, ont créé des paresseux.

Le Québec est le seul qui tient encore au syndicalisme pur et dur, syndicalisme qui permet encore l’intimidation, la violence. Les lois au Québec ont été promues contre des votes, on a créé des géants à la PKP sans demander de la performance, intervention d’états à tous les niveaux. Québec a bloqué l’augmentation de la sous-traitance sous Bourques, ceci sans mandat de la population de Montréal, en fait le PQ à l’époque n’avait pas la majorité a Montréal, ce n’est pas normal que le maire élu d’une municipalité puisse être rabroué de la sorte par un ministre provincial, voilà une claire défaillance de la constitution canadienne, le niveau municipal est entièrement sous la coupe de la province, au lieu d’être une entité définie en soi dans la constitution. Cela n’impacte Montréal comme nul autre. Le PQ est le pire qui soit arrivé à Montréal en 367 ans d’histoires

Ecriver moi pour me faire part, ou partager des photos de cols au travail, car j’attends encore qu’il finisse le travail au coin de chez nous depuis 2 ans, je me demande ou il travaille (dit avec beaucoup de sarcasme).