Quelque Chose de Pourri… Il y a quelque chose de pourri au Royaume de Montréal

12Feb/100

Vive Montréal libre! indépendance, Montréal au montréalais.

Vive Montréal libre! indépendance, Montréal au montréalais.

Ti-jean Charest a encore une fois décider que taxer c’est beau et c’est fin. On reste les plus taxer en Amérique, on souffre de syndicalisme aigu,  on se tire dans le pied avec des lois linguistiques qui nous rendes moins compétitif, on parle que taxer c’est bien.

Bref, on rattrape les maritimes économiquement. Pendant que la population boit le Kool-Aid et se pète les bretelles en se répétant « on a de la joie de vivre et le reste du Canada est jaloux ».

Je suis né dans la métropole canadienne et qui a été sabrée par le nationalisme et l’étroitesse d’esprit du Québec des curés. Il faut 2 votes d’un compté montréalais pour équivaloir à celui de la Gaspésie et de plusieurs autres comptés.

Montréal possédait en 1967 tous les atouts sur la scène internationale pour rayonner, une ville multi lingue ouverte. Mais cela cachait la réalité de l’évolution du Québec profond, le FLQ et la haine qui se cachaient sous la surface.

La Révolution tranquille nous a débarrassés du contrôle de l’église, seulement pour être remplacée par les soutanes nationalistes. Les nouveaux zélés se sont dirigés vers le PQ, la nouvelle vague de curée. Ils ont lentement déplacé l’équilibre de Montréal, ils ont coulé ce qui a été construit depuis 200 ans.

Les curés du 20e siècle on imposer a Montréal le carcan d’être unilingue français, on force une nouvelle réalité, elle est fausse, mais peut importe, le Reich ne permet pas de largesse.

Pas de place au Montréal de 1967 bilingues plein de promesses. Le travail de la loi 101 fait son chemin, Montréal devient de plus en plus unilingue.

Les entreprise démarre, mais très vite sont acheter et absorber a l’extérieur du Québec, car trop difficile pour un groupe nord-américain d’attirer le talent du reste de l’Amérique a Montréal. Restriction de la langue et le syndicalisme ardent nous mènent à l’illusion tranquille, on boit tranquillement notre Kool-aid. Bionaire, Toastess, Wrebit, Bauer … etc. et nombre de petites entreprises avec des produits novateurs, absorber et déplacer vers Toronto, Vancouver et quelques parts aux É.-U.

Je peine pour Montréal, de métropole à ville moyenne, le seul espoir que Montréal retrouve un statut d’importance, il nous faut comme dans le temps du régime français être indépendants. Il y avait un gouverneur à Montréal, il nous faut un premier ministre, bref vive Montréal libre! il nous faut une autre province, Montréal, bye! bye! les curés du nationalisme.

23Sep/090

Bonjour!

Bonjour!

J'écris ce blogue, parce qu'à subir la politique à Montréal me fait vomir. De Harel à Tremblay, en passant par l'interventionnisme de Québec, et la magouille syndicale. J'écris pour me défouler, car voir Montréal lentement couler grâce au pur et durs, à la guerre des langues et à la division de la cause séparatiste, a la haine face au bilinguisme de Montréal. Montréal est, et a toujours été une ville bilingue! répéter que Montréal est uniquement français multiple fois ne rend pas la chose vraie.

Je travaille en informatique, je suis resté a Montréal malgré la tentation de carrières mieux rémunérer au sud et surtout loin des purs et durs du PQ, parfois je regrette, mais j'ai espoir qu'un jour on se réveille et tourne la page, on ne sait jamais...