Quelque Chose de Pourri… Il y a quelque chose de pourri au Royaume de Montréal

20Jun/100

La désillusion triste..

La désillusion triste..

Je me fais un plaisir de lire le blogue No Dogs or Anglophones http://nodogsoranglophones.blogspot.com/ discussion intéressante, parfois a coté de la track, mais bien balancer sur l'aspect de la couverture des extrémistes de la langue au Québec. Ceci étant dit, il semble que les cerveaux au Québec s'insurgent que l'anglais ne soit pas parlé à l'église... oui oui vous avez bien lu... ah vous vous dites que personne ne penserais brimer la sacrosainte liberté de religion... surtout pas genre un journaliste... vous auriez tort,  rencontrer Hélène Pelletier-Baillargeon et son génie http://bit.ly/9FfMgS donc a la lecture de celui-ci on peut conclure que la loi 101 est le droit ultime, il passe par-dessus tout autre droit. Dommage que la charte des droits ne le dis pas, typique de notre village, le modus operandi de la frange nationaliste a toujours été d’inspirer le mépris envers les cours judiciaires. Leur discours ne protège jamais les droits qui vont contre leur idée, ils sont les nouvelles chemises brunes d'Adrien Arcand http://bit.ly/aoUXnw.

16Mar/100

Plus ca change plus c’est pareil

Plus ca change plus c'est pareil

Le conseil de la langue française se prononce pour éliminer encore plus de droits aux citoyens du Québec. Yeah on utilise l'épouvantail de la mort imminente de la langue française pour éliminer la communauté anglophone et enlever les droits des citoyens du Québec. La charte des droits est outrepassée et cela est admis par la Cour suprême, mais on justifie la contrainte des droits par le consensus au Québec. Hmmm la charte n'est-elle pas la pour contrer la dictature de la majorité et protéger la dissidence de l'individu? Le droit social écrase le droit individuel par les temps qui courent. Un jour peut-être aura t'ont une Cour suprême qui aura le culot de rendre jugement selon les droits accorder par la charte et protéger le droit individuel de la dictature du droit social.

12Feb/100

Vive Montréal libre! indépendance, Montréal au montréalais.

Vive Montréal libre! indépendance, Montréal au montréalais.

Ti-jean Charest a encore une fois décider que taxer c’est beau et c’est fin. On reste les plus taxer en Amérique, on souffre de syndicalisme aigu,  on se tire dans le pied avec des lois linguistiques qui nous rendes moins compétitif, on parle que taxer c’est bien.

Bref, on rattrape les maritimes économiquement. Pendant que la population boit le Kool-Aid et se pète les bretelles en se répétant « on a de la joie de vivre et le reste du Canada est jaloux ».

Je suis né dans la métropole canadienne et qui a été sabrée par le nationalisme et l’étroitesse d’esprit du Québec des curés. Il faut 2 votes d’un compté montréalais pour équivaloir à celui de la Gaspésie et de plusieurs autres comptés.

Montréal possédait en 1967 tous les atouts sur la scène internationale pour rayonner, une ville multi lingue ouverte. Mais cela cachait la réalité de l’évolution du Québec profond, le FLQ et la haine qui se cachaient sous la surface.

La Révolution tranquille nous a débarrassés du contrôle de l’église, seulement pour être remplacée par les soutanes nationalistes. Les nouveaux zélés se sont dirigés vers le PQ, la nouvelle vague de curée. Ils ont lentement déplacé l’équilibre de Montréal, ils ont coulé ce qui a été construit depuis 200 ans.

Les curés du 20e siècle on imposer a Montréal le carcan d’être unilingue français, on force une nouvelle réalité, elle est fausse, mais peut importe, le Reich ne permet pas de largesse.

Pas de place au Montréal de 1967 bilingues plein de promesses. Le travail de la loi 101 fait son chemin, Montréal devient de plus en plus unilingue.

Les entreprise démarre, mais très vite sont acheter et absorber a l’extérieur du Québec, car trop difficile pour un groupe nord-américain d’attirer le talent du reste de l’Amérique a Montréal. Restriction de la langue et le syndicalisme ardent nous mènent à l’illusion tranquille, on boit tranquillement notre Kool-aid. Bionaire, Toastess, Wrebit, Bauer … etc. et nombre de petites entreprises avec des produits novateurs, absorber et déplacer vers Toronto, Vancouver et quelques parts aux É.-U.

Je peine pour Montréal, de métropole à ville moyenne, le seul espoir que Montréal retrouve un statut d’importance, il nous faut comme dans le temps du régime français être indépendants. Il y avait un gouverneur à Montréal, il nous faut un premier ministre, bref vive Montréal libre! il nous faut une autre province, Montréal, bye! bye! les curés du nationalisme.

23Sep/090

Bonjour!

Bonjour!

J'écris ce blogue, parce qu'à subir la politique à Montréal me fait vomir. De Harel à Tremblay, en passant par l'interventionnisme de Québec, et la magouille syndicale. J'écris pour me défouler, car voir Montréal lentement couler grâce au pur et durs, à la guerre des langues et à la division de la cause séparatiste, a la haine face au bilinguisme de Montréal. Montréal est, et a toujours été une ville bilingue! répéter que Montréal est uniquement français multiple fois ne rend pas la chose vraie.

Je travaille en informatique, je suis resté a Montréal malgré la tentation de carrières mieux rémunérer au sud et surtout loin des purs et durs du PQ, parfois je regrette, mais j'ai espoir qu'un jour on se réveille et tourne la page, on ne sait jamais...